Artist painter, composer of classical music and poet, Ferenc SEBÖK began in 1971 with landscapes, marine, portraits and nudes. He really discovered symbolism when he became freemason. He trained iconography in Belgium and Hungary and trained piano, violin and composition in Belgium.
He won several important international prizes as well as in painting or music composition.
His music is influenced by Hungarian and Transylvanian moods.
In painting, he is wellknown for his Tracing Boards and Geometric abstractions that you can find in many Lodges in Europe (Belgium, Luxembourg, France, The Netherlands, England and Hungary).
He often adds a poem to his tracing boards or geometric abstractions.
But he also paints other Masonic themes about the quest, esotericism or allegory.
Some of his profane paintings are in culture houses or museums.
He is member of different artistic associations in Belgium, France and Hungary. Ferenc has also created Masonic songs.
See his website www.sebok.be for details about music or painting bibliography.

All is Harmony

I see your hand taking the Light
And my hand is sharing the Bread
I see the sky full of Stars
With the Sun and the Moon in our heart
Because all is Harmony

After working it’s Midnight
And we dress the tables satisfied
Time and Space are out of the Temple
The best is said to dearly beloved Brethren
Because all is Harmony

We have a same Secret now
Leading us to Love and Peace
Alone we are so weak
But together we create the Unity
Because all is Harmony

You see my hand taking the Light
And your hand is sharing the Wine
With Beauty, Force and Wisdom
We fumble about in the Dark
Because all is Harmony

The bird and the Temple

I saw a white bird flying in the sky

Worried, with an impression of loneliness

Disappearing behind the sun

The darkness came with a cold wind

And nobody understood why

The bird burned in the light

I saw a white bird flying in the sky

With a bay leaf on the head

Reaching the seven stars

Between the square and the compass

Ready to cross the gloomy space

Without any fear

I was the bird searching the way

And leaving the sorrow emptiness

With my wings in the light

All sad days were far from my soul

And with my Brethren, together,

We built the temple day after day.

The quest

You are to my soul as love to my heart

And I discover, around me, the Royal Art

No doubt, you can cut all ugly rope

And I remain with my hope

Beneath the stars, I lift my head

And with a smile, I eat your bread

In a Temple wherein Brethren say

Time is far away, we must pray

Open your eyes and see the light

Close your eyes and smell the dying night

In your hands, I feel tenderness

In the sky, I feel quietness.

Artiste-peintre, compositeur de musique classique et poète, Ferenc SEBÖK débuta la peinture en 1971 avec comme thèmes les paysages, marines, portraits et nus. Il découvrit véritablement le symbolisme en entrant en Franc-maçonnerie. Il a étudié l’Iconographie en Belgique et en Hongrie et le piano, le violon et la composition en Belgique.

Il a gagné plusieurs prix internationaux aussi bien en peinture qu’en composition musicale.

Sa musique est fort influencée par les motifs hongrois et transylvaniens.

En peinture, il est connu pour ses tableaux de Loge et ses abstractions géométriques que l’on peut découvrir dans les Loges européennes (Belgique, Luxembourg, France, Hollande, Angleterre et en Hongrie).

Il joint souvent un poème aux Tableaux de Loge et aux abstractions géométriques, cependant il peint également d’autres thèmes maçonniques évoquant la quête de l’homme, l’ésotérisme et les allégories.

Certaines de ses peintures profanes se retrouvent en endroits publics comme les centres culturels ou certains musées.

Il est membre de diverses associations artistiques en Belgique, France et en Hongrie.

Ferenc a également créé des chants maçonniques.

Pour de plus amples renseignements concernant la musique et la peinture vous pourrez le découvrir sur le site www.sebok.be

Sommes-nous dignes ?

Sous la Voûte étoilée cheminent les Frères
Entre Yakin et Boaz, l’Orient les éclaire
Temple Qadosh de la Connaissance
Où nos cœurs s’abreuvent de son essence
De l’Orient à l’Occident
L’harmonie est notre ciment
Du Zénith au Nadir
La raison est notre sourire
Mais sommes-nous dignes de tout cela ?

Ai-je bien reçu la Lumière ?
Ai-je posé la première pierre ?
Mes Frères me reconnaissent comme tel
Et l’Univers du Temple devient réel
A chaque pas, l’obstacle déroute
Alors des cœurs m’enlèvent le doute
Comme l’enfant je suis la lune
Et de foi, je n’en ai qu’une
Mais suis-je digne de tout cela ?

Liberté, égalité, fraternité

Je suis ivre de bonheur
Car j’ai découvert le cœur
De ma Liberté

Tu es pour moi, ce que je suis
Et les ténèbres ont fuit
Devant notre Egalité

Nous cherchons ensemble
L’Art Royal qui rassemble
Les Frères en Fraternité

A notre table, soyez les bienvenus
Et comme l’étranger, bien reçus
Par Sagesse, Force et Beauté

Gloire au divin céleste
Gloire à son miroir terrestre
Liberté, Egalité, Fraternité

La mort d’Hiram

Délivré des désirs
Il oeuvrait par plaisir
Libre des contraintes
La raison était son empreinte
Sagesse, amour et savoir
Chacun pouvait y croire

Mais un jour, le ciel s’assombrit
Des Compagnons n’avaient rien compris
Esprits ténébreux et obscurcis
Ils voulurent posséder le mot précis
Quel est donc le mot du Maître ?
Demandèrent tour à tour les traîtres

Mais Hiram refusa de le dire
Et les meurtriers firent chacun le pire
La lumière se perdit dans l’abîme
Les ténèbres montèrent à la cime
Ainsi la Parole fut perdue
A jamais, la sagesse s’est tue

Le Rite qui nous rassemble

Du Nadir au Zénith

Nous élevons notre Rite

A la gloire du Dieu du Dieu

Dans l’éclat des Ténèbres aux Cieux

A l’angle du bonheur

Avec zèle, foi et ferveur

Nous construisons notre Temple

Pour tout ce qui nous rassemble

L’espace s’efface, le temps est figé

Nous participons à l’œuvre du Sacré

De l’antre de la mort à la vie

Nous bâtissons ce qui nous lie

Cercles concentriques éclairant notre Voie

C’est la Lumière qui mène à notre Roi

Nos épées pointent la Justice

Vers laquelle nos esprits se hissent

Indicible désir d’amour

Dans les étoiles gravissons toujours

L’inaccessible montagne céleste

Abandonnant le profane qui nous leste