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ÉTUDES MAÇONNIQUES - MASONIC PAPERSby W.Bro. ALAIN BERNHEIM 33°REGULARITÉ ET RECONNAISSANCE |
Une
minorité de maçons appartenant à des loges faisant partie d’obédiences
reconnues éprouvent des sentiments contradictoires : ils apprécient le
fait d’être des maçons pouvant être reçus dans l’immense majorité des
Grandes Loges du monde entier mais ils ressentent simultanément une sorte de
nostalgie provenant du fait qu’ils désireraient pouvoir visiter les loges de
l’Orient où ils résident et voir les membres de ces loges reçus dans leurs
propres loges, sans tenir compte de leur appartenance à une Grande Loge non
reconnue. J’ai
été invité au mois d’avril 2001 à donner une conférence dans une loge
d’une capitale européenne pour préciser à l’intention de ses membres le
sens des mots régularité et reconnaissance – deux mots aux acceptions bien différentes dont
la signification actuelle n’est pas toujours perçue avec la précision
indispensable par beaucoup de maçons. Les lignes qui suivent reproduisent les
notes que j’avais préparées à cette intention. Afin
de préparer le terrain, cette loge avait dans un premier temps recommandé à
ses membres la lecture du livre classique de Marius Lepage, L’ORDRE et les Obédiences, ouvrage paru en 1956 qui reprend des
articles que l’auteur avait publiés dans la revue Le Symbolisme. La loge avait ensuite organisé deux séminaires au
cours desquels les idées de Lepage avaient été discutées à la lumière de
la situation maçonnique contemporaine. Quelques
semaines plus tard, nous avons discuté de l’ensemble de ces problèmes. J’ai
commencé par souligner que je ne désirais pas présenter une conférence de
type classique mais souhaitais au contraire que les maçons présents puissent
intervenir au fur et à mesure des clarifications apportées. Les
questions, les objections, furent nombreuses. Elles m’amenèrent à répéter
à plusieurs reprises ce qui, à mes yeux, représente une évidence : si
un jeune maçon estime ne pas avoir été informé d’une manière suffisante
préalablement à son initiation, différents choix s’offrent à lui. Rien ne
l’empêche de démissionner de l’obédience qui l’a reçu et personne
n’aura le droit de porter un jugement défavorable sur sa démission. S’il démissionne,
il peut rejoindre une autre obédience ou se rattacher à une loge sauvage.
S’il choisit de ne pas démissionner, il a encore la possibilité de tenter de
faire modifier par les voies constitutionnelles prévues par son obédience les
dispositions des textes réglementaires qui ne lui conviennent pas. Par contre,
il ne peut pas avoir en même temps le beurre et l’argent du beurre, car ces mêmes
textes, dont il
a solennellement promis de respecter les dispositions, comportent des
interdictions. Par exemple celle d’assister aux tenues d’une loge
appartenant à une obédience non reconnue. RÉGULIER
L'un
des plus anciens mots du vocabulaire maçonnique. On rencontre "regular"
dans les General Regulations, compilés
par George Payne, Grand Maître de la premier
Grand Lodge en 1718 et en 1720, et publiés dans le Livre des Constitutions d'Anderson en 1723. La
signification qu'avait alors le mot régulier,
ressort clairement du libellé de l'article VIII des General Regulations dont le texte est pratiquement identique à
celui de l'art. 16 des Reglemens Généraux
adoptés par "la grande loge assemblée à Paris le 11 décembre 1743"
: Si
plusieurs maçons s'ingerent de former une Loge sans la permission du G.M. Les
Loges régulières ne doivent point les soutenir ni les avoüer pour des frères
qui ont de l'honneur, et qui sont düement formés; elles ne doivent pas non
plus approuver leurs actes et contracts... On
possède de même une Liste des Loges Régulieres
du roiaume de france, faite à l'Assemblée de la Grande Loge, tenue le 6.
novembre 1744 et, toujours avec une acception identique, on retrouve le mot
‘régulier’ dans les Statuts et Réglements
de la Grande Loge de France en 1763 et en 1771. Passage
éclairant du procès-verbal de la premier
Grand Lodge, daté du 29 janvier 1731 : Le
Dr. Douglas observa que plusieurs Frères qui n'appartiennent à aucune Loge régulière
et qui sont cependant de bons et fidèles Frères, ne peuvent avoir connaissance
[du Grand Festival] si celui-ci n'est pas annoncé publiquement. Lorsque
des Maçons irlandais créeront à Londres la Grande Loge des Anciens, ils
conserveront, dans leurs Rules &
Orders approuvés le 17 juillet 1751, le mot regular avec le même sens: That
no Old Mason be admitted a Member of any Lodge except he hath been made in a
Regular Lodge (Nul
Maçon Ancien ne sera admis comme membre d'aucune Loge à moins qu'il n'ait été
fait [= initié] dans une Loge Régulière). LES
LANDMARKS [1]
Le
mot Landmark apparaît au début de
l'art. XXXIX des General Regulations
de 1721-1723 dus au GM George Payne. Cet article deviendra l'art. 9 des Reglemens
Généraux français de 1743, dans lequel Landmark
est traduit par ‘Limites’ : Chaque
gde Loge annuelle a le pouvoir inhérent et l'autorité de faire de nouveaux règlemens
ou de changer ceux-cy pour l'avantage réel de la fraternité pourvû que les
anciennes Limites soient toujours soigneusement conservées... Or, pendant la seconde moitié du XVIIIe siècle, la Grande Loge des
“Modernes” de 1717 n’était pas reconnue par ses deux sœurs d’Ecosse et
d’Irlande qui lui reprochaient d’avoir modifié les landmarks traditionnels,[2]
ce qu’elle reconnut le 12 avril 1809 : this Grand Lodge do agree in opinion with the
Committee of Charity that it is not necessary any longer to continue those
Measures which were resorted to or about the year 1739 respecting Irregular
Masons, and do therefore enjoin the several Lodges to revert to the Ancient Land
Marks of the Society”.[3]
Elle constitua six mois plus tard une nouvelle loge, The
Special Lodge of Promulgation, dont la patente spécifiait le but : en
application de la résolution précédente, faire connaître et rendre exécutoires
les anciens landmarks auxquels il convenait de revenir: for
the purpose of Promulgating the Ancient Land Marks of the Society and
instructing the Craft in all such matters and forms as may be necessary to be
known by them in Consequence of and Obedience to the said Resolution [celle du 12 avril 1809, citée ci-dessus] and Order.[4] L’un des procès-verbaux de cette loge, celui du 19 octobre 1810,
constatait que la cérémonie de l’installation d’un Maître de loge était
l’un des deux landmarks du métier
et qu’elle devait être pratiquée: Resolved
that it appears to this Lodge that the ceremony of Installation of Masters of
Lodges is one of the two Landmarks of the Craft and ought to be observed. Lorsque
Hextall consacra en 1910 une étude à ces procès-verbaux, il exprima sa
conviction qu’il ne pouvait guère y avoir seulement deux
landmarks et en conclut que le mot two
était une erreur de copie pour true.[5]
Avec
un immense bon sens, Chetwode Crawley [6]
lui répondit cinq ans plus tard qu’en fonction des faits connus de toute
notoriété, le texte ne laissait pas subsister la moindre équivoque. Deux landmarks,
pas davantage, étaient en cause: Our
W. M. [Hextall] has supported the hypothesis [of a clerical error] with the
utmost skill and ingenuity, but the explanation seems superfluous, in view of
the known facts. [...] The language is unmistakable. Only two Landmarks were in
question. The first [...] by recognising and redressing the “Variations” in
the preparatory E. A. and F. C. Degrees.[7] RECONNAÎTRE
Pour
les Maçons d'expression française, le sens essentiel du mot reconnaître est
inséparable de deux phrases présentes dans les plus anciens catéchismes maçonniques
écrits en français : Êtes-vous [Franc-]
Maçon ? Mes
Frères me reconnaissent comme [ou
pour] tel. [8] Les
rapports qu'entretenait au 19ème siècle la Grande Loge Unie d'Angleterre avec
d'autres puissances maçonniques, comprenaient dans certains cas l'échange de
garants d'amitié, mais cet échange ne constituait pas une règle. Lorsqu'un
incident survenait (par exemple lorsqu'en 1845 la Grande Loge Unie apprit que la
Grande Loge Royal York de Berlin
refusait de recevoir des visiteurs non-chrétiens - c'est-à-dire israélites),
elle se contentait de ne pas renouveler l'échange de garants d'amitié.[9]
Jusqu’en
1878, le mot reconnaître
et la notion de reconnaissance ne
furent jamais employés avec l'acception courante aujourd’hui. Dans les
encyclopédies maçonniques de langue anglaise contemporaines, Mackey (1874) et
Kenning (janvier 1878), l'entrée Recognition
(Reconnaissance) est accompagnée par les mots signs of (signes de) ajoutés entre parenthèses. Autrement dit, le
mot recognition n'était alors employé
dans le vocabulaire maçonnique anglophone que dans l'expression "signes de
reconnaissance". Ce
n'est qu'en mars 1878 que le mot reconnaissance
se vit attribuer cette dimension supplémentaire qui nous est aujourd'hui familière.
Le 5 décembre 1877, une commission de dix membres - parmi lesquels l'historien
Gould - était constituée par la Grande Loge Unie d'Angleterre « afin de
prendre en considération l'action du Grand Orient de France, supprimant de sa
Constitution les paragraphes qui affirmaient une croyance en l'existence de Dieu ».
[10]
Au mois de mars 1878, cette commission proposa la résolution suivante, qui fut
adoptée à l'unanimité: « ...La
Grande Loge [Unie d'Angleterre] toujours désireuse de recevoir dans l'esprit le
plus fraternel les Frères appartenant à toute Grande Loge étrangère dont les
travaux sont effectués selon les anciens Landmarks
de l'Ordre, dont le premier et le plus important est la croyance au Grand
Architecte de l'Univers, ne peut reconnaître (cannot recognise) comme "vrais et véritables" Frères
ceux qui auront été initiés dans des Loges qui nient ou ignorent cette
croyance ».[11] RECONNAITRE
AU 20e SIECLE...
Le
23 juin 1983, le Frère Christopher Haffner, membre de la Grande Loge Unie d'Angleterre
et Grand Maître de District pour Hong Kong et l'Extrême-Orient, présenta une
communication intitulée ‘Régularité d'Origine’ devant la Loge de
Recherches Quatuor Coronati alors présidée
par Wallace McLeod. Voici le début des commentaires de McLeod : Le
domaine de la jurisprudence maçonnique est fort délicat, car si nous aimons
croire que les caractéristiques essentielles de la Franc-Maçonnerie sont des
"landmarks" qui par définition ne peuvent pas relever du [domaine] législatif,
personne cependant ne sait exactement ce que sont les landmarks, et chaque
Grande Loge est en droit de faire ses propres lois. Il faut avoir du tact pour
savoir à quel point on peut introduire des changements sans pour cela ébranler
les fondations. Depuis ses origines jusqu'à nos jours, la Franc-Maçonnerie n'a
pas cessé d'évoluer, et il n'y a jamais eu d'époque à laquelle on ait pu déclarer
: "ceci représente la Franc-Maçonnerie à l'état le plus pur". (AQC
96: 129) Voici maintenant l’opinion particulièrement qualifiée de Sir James Stubbs, Grand Secrétaire de la Grande Loge Unie d'Angleterre de 1958 à 1980, extraites des commentaires qu'il écrivit à propos de la même communication : Le
Frère Haffner semble confondre la "régularité"
qui est subjective et susceptible de recevoir plusieurs interprétations, avec
la "reconnaissance" qui
correspond à un état de fait. Aucune Grande Loge [A]
ne peut être forcée de reconnaître
une autre Grande Loge [B], même si
elle [A] est prête à admettre que
celle-ci [B] est régulière d'après ses [A]
propres critères d'appréciation. Aucune Grande Loge ne peut exiger d'être reconnue;
elle ne peut que demander à l'être et exposer ce qu'elle estime constituer les
éléments d'un bon dossier. Au contraire, si elle le désire, une Grande Loge
peut rompre ses relations, c'est-à-dire ne
plus reconnaître une autre Grande Loge si elle estime avoir une bonne
raison pour cela. ... A
mon avis il est aussi important pour la Grande Loge à qui une demande [de
reconnaissance] est adressée, de chercher des raisons pour ne pas accorder
cette reconnaissance, que pour la Grande Loge qui la sollicite, de fournir des
éléments pour que cette reconnaissance soit accordée. [12] Or, se posant la question « Qu’est-ce qu’un Maçon “régulier” ? »,
l’un des membres de votre loge a répondu en citant la phrase suivante –
mais sans en indiquer la source ou l’auteur : un
F\ qui, comme l’immensité de ses semblables répandus sur les deux hémisphères,
est respectueux des Landmarks et des Règles Traditionnelles, et appartient donc
à une Loge dépendant d’une obédience régulière et par conséquent
reconnue par la grande majorité des obédiences mondiales. Et ce F\ d’ajouter : On en déduit que c’est parce qu’elle est “régulière” que
ladite obédience est reconnue par la grande majorité des autres. Mais quelles
autres ? Sans nul doute : les autres “régulières”. Ainsi, en
quelque sorte, on tourne en rond. On est régulier parce qu’on dépend d’une
obédience régulière, et cette obédience est régulière parce qu’elle
est reconnue par les autres obédiences régulières. Et ces autres obédiences
sont elles-mêmes régulières parce qu’elles se sont reconnues entre elles... Les mots de Sir James Stubbs [13] montrent qu’il n’en est rien : il n’y a pas – aujourd’hui – de lien de cause à effet entre régularité et reconnaissance.
NOTES [1]
Au sujet de ces métarègles ou landmarks,
Bernard Jones a écrit des pages excellentes dans Freemasons’
Guide and Compendium (1950, nombreuses rééditions): 334-337, traduites en
partie par Marius Lepage dans l’ordre
et les Obédiences: 94-95. Lepage conclue ainsi: « Soyons sérieux
! Une seule affirmation historiquement et traditionnellement possible: personne
n’a jamais vu un landmark, parce que, en réalité, un landmark n’est qu’un
mythe forgé par un poète... » (p. 96). Cette phrase est suivi par une citation
qui n’est pas de Gould, comme l’écrit Lepage. On en trouvera la source (Freemasons’
Magazine du 25 février 1865) et la formulation originale (« Nobody
knows what they comprise or omit ; they are of no earthly authority,
because everything is a landmark when an opponent desires to silence you, but
nothing is a landmark that stands in his own way ») indiquée en note par
Gould dans History of Freemasonry, I: 439, qui la fait précéder de la
remarque: « Of the Ancient Landmarks, it has been observed, with more or
less foundation of truth: ». [2]
Voir Henri Amblaine (= Alain Bernheim) ‘La
Franc-Maçonnerie, l’Angleterre et les mythes’ (Acta
Macionica 9, 1999). [3]
Gould History
II: 498. Hextall, AQC 23
(1910): 37. Knoop, AQC 56
(1945): 30. Clarke, Grand
Lodge (1967): 124 etc. [4]
AQC 23 (1910): 37-38. [5]
AQC 23 (1910): 50-55.
Hextall avait dû invoquer les Encyclopédies de Mackenzie (1877) et de Woodford
(1878) pour justifier sa conviction qu’il existait plus de deux landmarks. [6]
AQC 23 (1910): 59. Dans
le premier volume de Cæmentaria Hibernica
paru en 1895, Chetwode Crawley avait déjà pris le mot two dans son acception littérale. [7]
AQC 28 (1915): 141 et
144, le second landmark étant celui de la cérémonie de l’installation. [8] En anglais, on
trouve les réponses : I am so taken to be by all Fellows and Brothers (Dialogue
between Simon and Philip ~1725) - I am so taken and Accepted to be amongst
Brothers and Fellows (Masonry Dissected
1730) - I am so taken and accepted among Brothers and Fellows (Three
Distinct Knocks 1760 - Jachin and Boaz
1762). [9]
Gould, History
of Freemasonry, Vol. III, p. 18. [10]
Depuis sa création en 1773,
le Grand Orient de France n'avait été régi que par des Règlements
Généraux. Le 10 août 1849, il décidait de se doter d'une Constitution
dont l'article 1er commençait ainsi: « La Franc-Maçonnerie, institution
essentiellement philanthropique, philosophique et progressive, a pour base l'existence
de Dieu et l'immortalité de l'âme ;... ». Cette affirmation n'avait
jamais figuré dans un texte réglementaire maçonnique français. Modifié en
1854, puis en 1865, l'article 1er de la Constitution
du Grand Orient de France comprit alors les quatre phrases suivantes: « La
Franc-Maçonnerie, institution essentiellement philanthropique, philosophique et
progressive, a pour objet la recherche de la vérité, l'étude de la morale
universelle, des sciences et des arts et l'exercice de la bienfaisance. Elle a
pour principes l'existence de Dieu, l'immortalité de l'âme et la solidarité
humaine. Elle regarde la liberté de conscience comme un droit propre à chaque
homme et n'exclut personne pour ses croyances. Elle a pour devise : Liberté, Égalité,
Fraternité ». Après des discussions que j'ai décrites dans le No.
19 (1989) de la revue Villard de
Honnecourt (GLNF), cet article 1er fut à nouveau modifié en 1877. La première
et la dernière phrase demeuraient identiques à ce qu'elles étaient en 1865.
Les deux phrases intermédiaires devenaient: « Elle a pour principes la
liberté absolue de conscience et la solidarité humaine. Elle n'exclut personne
pour ses croyances ». [11]
Les deux citations précédentes :
Gould, op.cit, Vol. III, p. 26. Charles
Cousin, Président du Conseil de l'Ordre du Grand Orient de France, écrivit le
28 novembre 1884 au Prince de Galles, Grand Maître de la Grande Loge Unie d'Angleterre,
pour déplorer la « situation regrettable ... faite aux Maçons français
par les Ateliers soumis à la juridiction de la Grande Loge d'Angleterre ».
Il reçut quelques semaines plus tard du Grand Secrétaire Shadwell H. Clerke
une réponse courtoise: « ...mais la Grande Loge d'Angleterre soutient et
a toujours soutenu que la croyance en Dieu est la première grande marque de
toute vraie et authentique Maçonnerie, et qu'à défaut de cette croyance
professée comme le principe essentiel de son existence, aucune association
n'est en droit de se réclamer de l'héritage des traditions et des pratiques de
l'ancienne et pure Maçonnerie. L'abandon de ce Landmark, dans l'opinion de la
Grande Loge d'Angleterre, supprime la pierre fondamentale de tout l'édifice maçonnique... ». [12]
AQC 96: 132. Les lettres
et les mots placés entre crochets ont été ajoutés par moi. [13]
On comparera la définition de
Sir James avec l’opinion (erronée) exprimée récemment par un maçon belge :
« Il faut surtout faire la différence entre "Régularité Maçonnique"
et "Reconnaissance", cette dernière
étant un acte diplomatique qui dans le cas de l'UGLE repose sur la constation
que l'Obédience en cause agit régulièrement. » |